
  Franck Tortiller /   Misja Fitzgerald-Michel Duo
  Depuis de nombreuses années je voulais jouer   avec Misja Fitzgerald-Michel. Sa musicalité, son lyrisme, le son de ses   guitares, ses choix   musicaux résonnent parfaitement avec mon univers   musical. Je me souviens   d’un concert à Paris, « Time of no reply »   autour de la musique de Nick   Drake qui fut pour moi l’élément   déclencheur de cette envie de   collaboration.
  Cet album avec Misja fut le fruit d’une longue   réflexion. Quelle   musique jouer ensemble, quel son, des compositions,   des reprises ?
  . C’est une musique emprunte de   solennité,   qui refuse l’austérité. Nous n’avons pas voulu tomber dans le     spectaculaire mais trouver cette façon de jouer une musique aux confins     du jazz et de la folk des song writers, recueillie, enrichie de     refrains et de mélodies qui s’emparent de nos mémoires (redemption song,     air love and vitamins), pratiquer une certaine forme de lenteur, de     dépouillement, prendre le temps des notes et du silence, jouer avec la     pulsation du souffle, expirer, inspirer, donner aussi cette énergie du     duo qui nous rassemble et nous ressemble.
  Nous avons besoin de gestes aussi radicaux que cette authenticité (souvent confondue avec simplicité)
    C’est   notre manière de faire de la musique vivante, pleine   d’espoir et de   vie, la joie de jouer ensemble avec ce titre qui est le   reflet de nos   envies : « Les Heures Propices »
  
   
   
  Un plaisir presque gustatif que les écoutes répétées ne font qu’amplifier.
    Yazid Kouloughli – CHOC Jazz Magazine
  Les oreilles grandes ouvertes, on leur doit un magnifique « Les Heures propices », duo chaleureux s’il en est.
  Franpi Barriaux – Citizen Jazz
  Une heure de grâce
  Sylvain Siclier – Le Monde
  Une magie, une tension absolument magnifique dans cet album.
      Alex Dutilh – France Musique
      
      Avec Les heures propices Franck Tortiller et Misja   Fitzgerald Michel   nous baladent aux confins du jazz et de la folk dans   leur univers riche   des harmonies subtiles de leurs instruments à nu,   où sans être guidés,   contraints par la technique, ils prennent le   temps de la respiration, du   ressenti de l’instant, de la joie et du   silence.
      Catherine Carette – FIP